Robeco Indian Equities F EUR

L'équipe d'investissement Asia-Pacific Equities est composée de cinq professionnels de l'investissement, dotés d'une expérience moyenne de 13 ans, alliant des compétences complémentaires et une expertise mondiale de l'investissement. Au sein de l'équipe, les gérants de portefeuille replacent les connaissances locales dans le contexte plus large d'une perspective régionale et mondiale. L'expérience de l'équipe d'investissement Asia-Pacific Equities est renforcée par l'expertise locale du conseiller en investissement indien, Canara Robeco.

Le fonds est établi au Luxembourg et est soumis à la législation et à la réglementation en matière de fiscalité en vigueur au Luxembourg. Le fonds n'est sujet, au Luxembourg, à aucun impôt sur les sociétés, les dividendes, les revenus financiers ou les plus-values. Le fonds est soumis au Luxembourg à une taxe de souscription annuelle (taxe d'abonnement), qui s'élève à 0,05% de la valeur nette d'inventaire du fonds. Cette taxe est incluse dans la valeur nette d'inventaire du fonds. Le fonds peut en principe utiliser le réseau d'accords du Luxembourg pour recouvrer partiellement toute retenue à la source sur ses revenus.

Les conséquences fiscales d'un placement dans ce fonds dépendent de la situation personnelle de l'investisseur. Pour les investisseurs privés aux Pays-Bas, les intérêts réels ainsi que les revenus issus de dividendes ou les plus-values reçus sur leurs placements ne sont pas concernés à des fins fiscales. Chaque année, les investisseurs paient des impôts sur le revenu en fonction de la valeur de leurs actifs nets détenus au 1er janvier si et dans la mesure où ces actifs nets excèdent le montant non imposable de l'investisseur. Tout montant investi dans le fonds fait partie des actifs nets de l'investisseurs. Les investisseurs privés résidant en dehors des Pays-Bas ne seront pas assujettis à un impôt aux Pays-Bas sur leurs placements dans le fonds. Ces investisseurs pourront toutefois dans leur pays de résidence être assujettis à un impôt sur tout placement effectué dans ce fonds, ceci sur la base de la législation applicable dans ce pays en matière de fiscalité. D'autres réglementations fiscales s'appliquent aux personnes morales ou aux investisseurs professionnels. Nous recommandons aux investisseurs de consulter leur conseiller financier ou fiscal à propos des conséquences fiscales qu'un placement dans ce fonds peut avoir sur leur situation particulière avant de décider d'effectuer un placement dans le fonds.

Le fonds inclut la durabilité dans son processus d’investissement par l’application d’exclusions, l’intégration des critères ESG, l’engagement et le vote. Le fonds n’investit pas dans des émetteurs qui enfreignent les normes internationales ou dont les activités sont considérées comme nuisibles à la société selon la politique d’exclusion de Robeco. Les critères ESG d'importance financière sont intégrés dans l’analyse « bottom-up » des investissements afin d’évaluer les risques et opportunités ESG existants et potentiels. Le fonds limite l’exposition aux risques de durabilité élevés lors de la sélection de titres. De plus, si l’émetteur d’un titre est signalé pour non-respect des normes internationales dans le cadre du suivi permanent, il fera alors l’objet d’un dialogue actif. Enfin, le fonds exerce ses droits d’actionnaire et utilise le vote par procuration conformément à la politique de vote par procuration de Robeco.

Bien que surperformant la région et les pairs (MSCI APxJ/EM : -6,9 %/-6,5 % en glissement mensuel), les actions indiennes ont reculé (en USD, -4,7 % en glissement mensuel). Bien que faibles, les mid-caps (-1,9 % en glissement mensuel) et les small caps (-2,2 % en glissement mensuel) ont surperformé les large caps (-3,8 %). À l’exception de l’énergie, tous les secteurs ont terminé le mois dans le rouge. L'INR a cédé 0,9 % (en glissement mensuel), atteignant ~82,67/USD en février. Les investisseurs institutionnels étrangers ont été vendeurs nets d’actions indiennes en février (0,1 milliard USD, suivis de 3,7 milliards USD en janvier). Les investisseurs institutionnels locaux ont poursuivi leur tendance acheteuse, enregistrant des flux positifs (2,3 Mds USD). La valorisation de l’Inde s’est légèrement corrigée à 20x le coefficient de capitalisation des résultats à terme. La prime de valorisation de l’Inde par rapport à la Chine a chuté, passant d’un chiffre record de 164 % à environ 88 %, mais reste supérieure à la moyenne à long terme. Les taux des bons du Trésor de référence à 10 ans se sont élevés en moyenne à 7,35 % en février (2 pb par rapport à moyenne de janvier). Indicateurs macroéconomiques : (i) l’IPC de janvier a grimpé à 6,5 %, inversant ainsi le ralentissement entamé ; (ii) la production industrielle de décembre a ralenti (+4,3 % en glissement annuel) ; (iii) la croissance trimestrielle du PIB de décembre s’est établie à 4,4 %.

Sur la base des cours, le fonds a affiché une performance de 0,25%. Sur la base de la VNI, le fonds a surperformé l’indice de 2,89 %. La sélection de titres a été payante dans les services aux collectivités et la consommation cyclique, tandis que l’allocation sectorielle dans les TI et l’énergie a eu un impact négatif au cours du mois.

L’indice PMI manufacturier de l’Inde a légèrement baissé pour atteindre son chiffre le plus mauvais depuis 4 mois, à 55,3 en février, contre 55,4 le mois précédent, ce qui demeure néanmoins le 20e mois consécutif d’expansion. Les collectes de TVA ont aussi augmenté de 12 %en glissement annuel, à 1,5 billion INR. Sur le plan extérieur, le déficit du commerce des marchandises de l’Inde est tombé à 17,7 milliards de dollars en janvier, son plus bas niveau en 12 mois, tandis que l’excédent du commerce des services s’est stabilisé à un niveau record de 16,5 milliards de dollars. Cette combinaison d’un déficit du commerce des marchandises en baisse et d’un solide excédent du commerce des services contribuera fortement à modérer le déficit en compte courant de l’exercice en cours.